Moins de la moitié des personnes traités par des hinibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) obtient un résultat satisfaisant (cf. Hoffer, Levine et al.2008).
Une raison essentielle expliquant les résultats insuffisants du traitement est depuis quelques années examinée de près par la science : Les causes de la dépression et la chimie neurologique ne sont pas prises en compte dans le traitement conventionnel.
Le Stress permanent en tant que cause déclanchante énergivore !
Ce stress épuise rapidement les réserves vitaminiques généralement très limitées et provoque de l'épuisement qui peut mener au burnout ou à la dépression.
Outre un manque d'énergie et de neurotransmetteurs, on trouve des processus neurodégénératifs, dont la plupart sont causés par le SO> La structure nerveuse est endommagée, ce qui joue un rôle essentiel dans l'évolution. Il a été démontré que les personnes atteintes de dépression souffrent de SO (cf. Khanzode, Dakhale et al.2003); Beaune, Martin et al.2007; Chang, Chen et al.2007).
Le stress oxydatif est en corrélation avec la gravité des symptômes dépressifs, car les DRO détruisent les membranes et les neurotransmetteurs (cf. Khanzode, Dakhale et al.2003; Sarandol, Sarandol et al.2007). La restauration rapide de la capacité antioxydante revêt donc une importance primordiale.
Les inflammations subcliniques chroniques, dont il a été démontré qu'elles sont associées au stress oxydatif, augmente le risque de dépression et entretiennent l'évolution. Cela explique en partie pourquoi les personnes atteintes d'inflammations chroniques, tels que les rhumatisants ou les cancéreux, souffrent plus fréquemment de dépression (cf. Capuron, Su et al.2008).